Je l'ai dit en commission : pour une fois que nous avons la main, gardons-la ! Autrement, les propositions de loi n'auraient plus de sens. S'il fallait que le Gouvernement donne son accord à chaque fois qu'une proposition de loi – même si elle donne lieu à quelques contacts préalables – est déposée, le sens même de la démocratie parlementaire disparaîtrait !