Monsieur Lefebvre, je suis comptable devant le bureau de l'Assemblée, en tant que président de séance, du bon fonctionnement de nos travaux. Je vous signalerai donc simplement que si nous avons commencé ceux-ci à dix heures trente plutôt qu'à neuf heures trente, ce n'est pas spécialement parce que les membres siégeant à gauche de l'hémicycle étaient absents… Dans l'intérêt même de nos travaux, évitons donc de nous faire des procès inutiles. Nous abordons une nouvelle session, sans doute une certaine fluidité est-elle nécessaire et devrions-nous en rester là.
La parole est à M. Jean-Marc Ayrault.