Je comprends les propos de Mme la ministre, mais je persiste à penser que l'on peut considérer les choses autrement pour la personne expressément chargée de pourvoir aux funérailles d'un proche. Il faut savoir que, lorsque vous décédez en maison de retraite ou à l'hôpital, la pression est forte sur les proches, à qui l'on dit qu'ils n'ont à s'occuper de rien et qui, dès lors, n'ont d'autre choix que de s'en remettre à la personne vers laquelle on les a orientés.
Ce n'est pas du tout du démarchage ! Il faut permettre le choix. J'entends ces arguments, mais il semble que mon amendement va au contraire dans le sens de la protection des personnes.