À l'époque, il avait en effet fallu une deuxième délibération pour annuler le fruit de la sagesse de l'Assemblée.
Les exonérations proposées préservent la création contemporaine et protègent même les propriétaires qui présentent les oeuvres d'art au public.
Par ailleurs, monsieur Woerth, vous qui prétendez poursuivre la fraude fiscale, inclure les oeuvres d'art dans l'assiette de l'ISF permet de les faire sortir de l'obscurité ! Car le commerce de ces oeuvres, s'il ne sert pas qu'à cela, permet aussi de blanchir l'argent sale en toute impunité.