Monsieur Myard, écoutez donc le ministre et le rapporteur général. « N'exagérez pas ! vous disent-ils. Nous avons déjà fait beaucoup et cela risque de devenir visible. Laissez le Gouvernement avancer benoîtement et attendez que les élections municipales soient passées. » Comme la TVA sociale, l'ISF est un gros mot.
En fin de compte, vous nous faites regretter Alain Juppé, monsieur Woerth. Lui, avait fait adopter un plafonnement du plafonnement de l'ISF.