C'est donc moins une question d'opposition que de bon sens et de respect de la démocratie. Ainsi que vous l'a dit M. Diard de façon maladroite, n'oublions pas les dérives qu'a connues notre pays il y a soixante ans.
Quant à la possibilité de réaliser des statistiques ethniques et raciales, introduite à l'article 20, nous n'en avons nul besoin, car nous savons bien qui est discriminé et nous disposons d'ores et déjà d'outils qui permettent de mesurer ces discriminations.