Il faut quand même une sacrée dose de mauvaise foi pour tenir de tels propos, monsieur le secrétaire d'État ! D'ailleurs, le rapporteur parlait de fraises, mais c'est à une course à l'échalote de la mauvaise foi que vous vous livrez avec M. le rapporteur.
Monsieur Charié, vous n'avez écouté que d'une oreille : si j'ai parlé de l'Espagne, j'ai aussi parlé de l'Allemagne, où le problème de la fraise se pose de la même manière qu'en France. Votre argument ne tient donc pas.