Je veux bien entendre vos explications, madame la secrétaire d'État, mais j'aimerais être certaine que les substances que l'on ne trouve pas dans les milieux aquatiques de l'hexagone, mais seulement en outre-mer, particulièrement en Guyane, feront effectivement l'objet de recherches et de contrôle. Sommes-nous bien d'accord sur ce point ? Je ne voudrais pas que l'on vienne nous dire, au moment de la mise en application, que les substances répertoriées dans les outre-mer ne font pas partie de la liste officielle.