En fonction des catégories, qui regroupent différents types de clients, il peut y avoir des conditions différentes.
Ce qu'il ne faut pas, c'est que ces catégories créent des déséquilibres économiques entre le fournisseur – celui qui vend – et le revendeur – celui qui achète. Au lieu de nous appuyer sur des sécurités dites « juridiques », nous nous appuyons sur le bon sens économique. Il ne doit pas y avoir de déséquilibres entre les acteurs, qui doivent redevenir des partenaires. C'est ce qui se fait partout ailleurs, et il est urgent qu'il en soit de nouveau ainsi dans la grande distribution à dominante alimentaire. Je pense, madame Coutelle, avoir répondu à votre préoccupation.