J'ai eu confirmation que M. Chatel n'était pas enclin à l'autocritique.
Pour votre part, monsieur le rapporteur, vous avez employé les termes de « nouvel équilibre », ce qui est une drôle de façon de parler du déséquilibre. Vous avez aussi clairement montré que vous considériez comme un crime de lèse-majesté le fait de s'attaquer à un texte promu sous les auspices de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'économie et des finances.