Monsieur Cochet, l'article 26 propose de mettre en oeuvre des études pour examiner toutes les solutions possibles afin d'atteindre l'objectif du rétablissement de la continuité écologique. Pour y parvenir, l'effacement peut s'avérer nécessaire comme solution ultime, mais l'aménagement peut être suffisant. Aucune possibilité n'est exclue.
S'agissant des 40 000 obstacles que M. Proriol recensaient tout à l'heure, je précise que 2 500 sont des ouvrages destinées à produire de l'hydro-électricité. Cela ne veut pas dire que l'on ciblera spécifiquement ces ouvrages, mais ils peuvent, eux aussi, constituer des obstacles posant des problèmes majeurs.
Il faut être clair : l'article prévoit de mettre à l'étude des possibilités d'aménagement ou d'effacement pour les obstacles les plus problématiques pour la continuité écologique.