Nous sommes pour le crédit à la consommation, mais contre ses effets pervers et ses dérives.
Vous avez eu raison de dire, madame, que, parfois, un certain nombre de consommateurs se sont laissé abuser. Doit-on ou peut-on interdire la double commercialisation du bien et du crédit sur un même lieu ?
Monsieur le secrétaire d'État, pour aller vite, je pense que les arguments du groupe socialiste correspondent tout à fait aux souhaits du groupe UMP.