Je souhaite maintenir l'amendement, monsieur le secrétaire d'État – n'en prenez pas ombrage.
Je voudrais que l'ensemble de mes collègues, sur tous les bancs, se mobilisent sur cette question. Peut-être l'amendement disparaîtra-t-il au Sénat parce que les choses auront alors avancé.
Mais je crains que l'on ne puisse pas simplement compter sur la bonne volonté des partenaires. Ces sujets mettent en jeu des vies humaines. Il nous appartient de donner un signal fort, comme nous avons eu l'occasion de le faire il y a trois ans. Cela prouve que le sujet n'est pas nouveau.