Ce n'est pas parce que nous sommes favorables au développement du crédit, qui a permis à un certain nombre de foyers de s'équiper, que nous acceptons les dérives du crédit revolving. Depuis quelques mois, nous prêtons, à votre initiative, attention à cette légitime préoccupation. Mme Lagarde elle-même a demandé au comité consultatif du secteur financier de se pencher sur la question et une réponse de fond, adaptée aux pratiques mais conforme à votre objectif, devrait être apportée d'ici à la fin de 2008. M. le secrétaire d'État pourra peut-être le confirmer.
Mieux vaut laisser pour l'instant les acteurs atteindre cet objectif commun plutôt que l'inscrire dans la loi. Avis défavorable.