Dans la même veine, cet amendement souligne une nouvelle fois les ravages causés par les fameux crédits revolving dans les familles, en particulier les plus modestes. Nous souhaitons, sinon une interdiction, au moins la mise en place d'une réglementation très sévère de leur publicité pour protéger les familles, mais aussi les CCAS et les services des conseils généraux qui sont appelés à rétablir leur situation financière, ce qui n'est pas simple.