Mme Iborra a fondamentalement raison : c'est bien au niveau scolaire que tout se joue. Ce qu'il faut éviter, c'est que ces jeunes décrochent, et c'est pour cela que des dispositifs sont mis en place un peu partout. Il faut que l'éducation nationale – rapprochez-vous de votre collègue, monsieur le secrétaire d'État – fasse en sorte qu'ils ne décrochent pas. C'est peut-être plus facile à dire qu'à faire, mais c'est comme cela que nous éviterons les pires ennuis.