Vous ne nous avez pas convaincus, monsieur le secrétaire d'État. S'il est bien une « usine à gaz administrative », c'est le dispositif créé par cet amendement.
La mission générale d'insertion est déjà normalement en charge de ces élèves-là. Avec les moyens en nette diminution qu'on lui accorde aujourd'hui, il n'est pas étonnant qu'elle soit en difficulté.
L'important est de prévenir les décrochages – ce qui suppose, en premier lieu, de ne pas supprimer de postes dans l'éducation nationale, comme vous le faites, mais, au contraire, de renforcer l'école et d'aider l'éducation nationale à empêcher les jeunes de décrocher.