Leur soutien nous fait chaud au coeur et nous rassure d'une certaine façon. Dans cet environnement bien compliqué, nous en avons besoin. Dans des moments difficiles, nous aimerions parfois avoir aussi un peu de soutien sur les bancs de la gauche.
Si j'en crois M. Launay ou M. Muzeau, il n'y aurait pas de débat. Nous avons pourtant passé bien des heures dans cet hémicycle et au Sénat depuis le mois d'octobre, et nous vous présentons des collectifs assez régulièrement : on ne peut donc pas dire qu'il n'y a pas de débat, nous passons au contraire beaucoup de temps à débattre, mais nous passons encore plus de temps à agir, et nous essayons de le faire de façon raisonnable et responsable. C'est probablement ce qui vous gêne, et je le regrette.