Il pensait qu'un texte comme celui-ci allait passer comme une lettre à la poste. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) C'est une allusion, vous l'avez compris, à l'actualité.
Nous nous retrouverons sur le dossier de La Poste, je puis vous l'assurer, parce que nous ne sommes qu'au début d'un mouvement qui sera fort, surtout dans le contexte international de crise financière, et parce que vous n'avez pas d'autres solutions que d'ouvrir le capital et de privatiser une entreprise de service public pour lui trouver les moyens de son financement. C'est pour cela que les députés du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche sont présents dans ce débat.