Enfin, bien que ces 100 000 personnes représentent 3 % des effectifs des sociétés cotées en bourse – et une proportion évidemment beaucoup plus faible des salariés du secteur privé –, le Gouvernement nous explique que le taux de la contribution salariale ne peut être supérieur à 2,5 %, au motif qu'il souhaite étendre les stock-options à l'ensemble de ces salariés.