Venons-en à l'amendement deuxième rectification de M. Bur, qui évoque, d'une part, la taxation en ce qui concerne les cotisations patronales et, d'autre part, la taxation ce qui concerne les cotisations salariales.
Le détenteur de stock-options est soumis en France à une fiscalité comparable à celle qu'ont instaurée les grandes économies développées.