Évidemment, je ne suis pas surpris par la réponse de la commission et du Gouvernement. J'en profite pour insister sur le fait que le Gouvernement ne répond jamais aux questions pourtant simples qui lui sont posées. On a eu plusieurs fois l'exemple dans ce débat et dans d'autres. J'ai posé la semaine dernière une question à Mme Lagarde, elle avait déjà été posée par M. Bataille, et la ministre n'a toujours pas répondu.
Il serait très choquant que l'on accorde aux avocats un régime spécial leur permettant de partir en préretraite à cinquante-cinq ans.
Il m'arrive, comme à vous tous, que l'on me prête dans la presse des intentions qui ne sont pas les miennes. Quand je lis des propos que je conteste, je démens immédiatement en expliquant que la personne ou le média s'est trompé. Je réponds clairement.
Vous parlez, monsieur le ministre, d'un conditionnel. Si c'était une fausse information, rien de plus simple. Vous prenez la parole et vous dites que telle n'est pas votre intention.