L'amendement vise à relever les minima de perception de sorte que les fabricants de tabac ne puissent vendre leurs produits en dessous du prix de la cigarette la plus vendue. Une guerre des prix entre industriels serait non seulement contraire aux objectifs de santé publique, mais entraînerait une réduction des recettes attendues pour la sécurité sociale.
J'en profite pour saluer la décision du Parlement européen, qui suggère d'interdire la vente des cigarettes aux jeunes de moins de dix-huit ans et recommande l'interdiction de fumer dans tous les lieux publics de l'Union, y compris dans ceux destinés à la restauration.