Xavier Bertrand, ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité :
Madame la présidente, mesdames et messieurs les députés, ne pourrions-nous pas commencer la matinée dans la sérénité ? Ce n'est pas à moi, mais aux parlementaires de décider de l'atmosphère. Mais je regrette que ce débat s'engage dans cette tension.