Nous devons, grâce à la RGPP, trouver les moyens de réformer les services publics, d'améliorer leur qualité et de répondre à l'impératif national qu'est l'équilibre de nos finances publiques – je ne reviendrai pas sur les chiffres.
C'est donc un rendez-vous de rupture avec l'accumulation continue de nos dettes et de nos déficits ; d'un rendez-vous de justice vis-à-vis des plus faibles de nos compatriotes, qui ont tout à perdre de l'affaiblissement et de l'impécuniosité de d'État et de l'ensemble de la sphère publique. La révision générale des politiques publiques est un rendez-vous moral vis-à-vis de nos enfants qui, si, nous ne savons pas réformer l'État dans lequel nous vivons aujourd'hui, n'auront plus qu'à payer nos dettes ! (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)