Mes chers collègues, je viens d'apprendre une bien triste nouvelle. Notre ancien collègue Aimé Césaire vient de mourir.
Je suis sûr de me faire l'interprète de l'Assemblée unanime et du Gouvernement en exprimant notre profonde émotion devant la disparition de l'homme politique et, bien sûr, du grand poète.
M. le Président de l'Assemblée nationale m'a fait savoir que l'Assemblée observerait une minute de silence au début d'une prochaine séance solennelle et qu'un hommage particulier serait rendu à Aimé Césaire, au cours duquel nous aurons l'occasion d'exprimer notre émotion.