J'ai reçu ces organisations pendant un an ; or aucune chambre des métiers ne m'a dit qu'elle était contre cette disposition. Elles ont simplement demandé qu'éventuellement une inscription soit prévue – j'y reviendrai.
Mon intervention a été un peu longue, mais je serai beaucoup plus bref par la suite. En tout état de cause, nous avons rejeté ces amendements tendant à supprimer l'article 1er, car nous sommes fiers de ce que nous faisons, dans l'intérêt des salariés. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)