…avec, d'ailleurs, le pistolet sur la tempe. Aujourd'hui, « les candidats à l'emploi » – nouvelle formule employée par Mme la ministre – doivent accepter de passer l'examen, même si c'est éloigné de leur domicile et mal payé, sous peine de ne plus percevoir d'indemnités au bout de deux refus. Le travail à temps partiel et le travail à horaires coupés seront désormais parmi les propositions qu'il ne sera pas possible de refuser. Dans ce nouveau contexte, la proposition de nos collègues communistes me semble tout à fait judicieuse. Il est donc pertinent de poursuivre notre réflexion. Adopter ce sous-amendement serait, en conséquence, faire oeuvre législative utile.