Mme de la Raudière a beaucoup de chance s'il ne lui est jamais arrivé de subir de longs temps d'attente en appelant un de ces prestataires. Il faudrait qu'elle nous explique comment elle fait ! Et je ne parle que des services mis en place par des entreprises encore publiques, comme EDF ou la SNCF.
Vous parlez de services « à valeur ajoutée », monsieur le secrétaire d'État. C'est exact : plus nous attendons, plus nous payons ! Il est certes normal de payer pour un service, mais, en l'espèce, nous payons pour rien, parce que nous finissons par raccrocher ! Parfois, on parvient à joindre quelqu'un, mais c'est pour être aussitôt renvoyé vers un autre interlocuteur, ce premier contact ne servant qu'à déclencher le décompte du coût de la communication !