C'est inopportun, ce n'est pas comme cela qu'il faut faire : bref, laissons aller les choses ! L'amendement n° 260 ne remet pas en cause la liberté de commerce, mais il propose de consacrer obligatoirement une part des investissements publicitaires à l'information nutritionnelle et à la promotion des fruits et légumes. On sait très bien qu'il est possible de réglementer, de fixer un certain nombre d'obligations quant à l'information des consommateurs. Je pense que, dans ce domaine, on peut tout à fait inciter à la promotion des fruits et légumes.