Monsieur Brottes, vous ne pouvez pas m'accuser de n'importe quoi. Vous savez très bien que, tant que nous n'aurons pas trouvé de solution aux pratiques de rapport de force, de chantage et de racket, à la dépendance économique et aux abus de position dominante – ce sont là les vrais sujets –, tout ce dont nous débattons aujourd'hui ne servira à rien.
Je soutiens donc le Gouvernement, le Président de la République et le Premier ministre, qui nous engagent à remettre à plat tous ces problèmes. Il ne s'agit pas, en effet, de surréglementer, mais de faire changer les pratiques. J'invite donc chacun à faire preuve d'un peu plus de raison en la matière.