Monsieur le président de la commission des affaires économiques, je ne me suis pas exprimé depuis une heure et ce n'est donc pas moi qui retarde la discussion ! Je vous remercie donc de permettre, en dépit du légitime agacement que peut vous causer un tel débat, au député porte-parole de l'UMP de s'exprimer.
Le groupe UMP a été très clair, et je l'ai déjà dit en son nom : nous ne refusons pas le débat, mais, compte tenu de tout ce qui se passe en ce moment, nous pourrions envisager une révision de la négociabilité des tarifs – ce qui d'ailleurs vous convient.