Monsieur Brottes, comme je vous l'ai indiqué, si le Gouvernement a souhaité vous proposer la dépénalisation de la non-communication des CGV concernant les fournisseurs, c'est parce qu'il considère qu'une sanction civile serait plus efficace et pourrait notamment être l'objet d'un référé. Aux termes de l'article L. 442-6 du code de commerce, les amendes civiles prévues dans ce cas ne peuvent excéder 2 millions d'euros.