M. le secrétaire d'État a déjà annoncé le passage de 550 à 680 euros, et c'est, me semble-t-il, une nouvelle importante. Peut-être faudra-t-il aller plus loin, mais ce dispositif doit progressivement se mettre en place et il faudrait d'abord que nous disposions d'une étude, d'une évaluation de cette montée en charge. La fongibilité est nécessaire : c'était, je crois, l'une des préconisations formulées par les députés qui faisaient partie du groupe d'étude et avaient permis à l'ONAC de gérer le dispositif, et M. le secrétaire d'État a fort bien dit que la fongibilité permet précisément à l'ONAC de dégager d'autres moyens pour secourir cette population, qui doit pouvoir vivre dans des conditions décentes. Avant d'évoluer, le dispositif doit donc monter en puissance et être évalué.
Avis défavorable.