Le Président de la République s'est prononcé pour le maintien du 5 décembre en précisant qu'il s'agissait d'un hommage aux personnes, et non de la commémoration d'un événement, les associations demeurant libres de commémorer à des dates de leur choix – par exemple le 19 mars – des événements dignes de commémoration. Et il est évident que le 19 mars est un événement digne d'une commémoration.
Le Président de la République ajoutait que les autorités civiles et militaires en assureront le bon déroulement, sauf circonstances locales particulières. Une circulaire précise le rôle des préfets. J'ai, pour ma part, l'intention de la clarifier…