Madame la secrétaire d'État, je prends acte de ces informations.
Vous l'aurez compris, notre département est constitué de zones fragiles, notamment dans le Villefranchois, avec un bassin industriel en plein renouveau, particulièrement à Decazeville. Je forme le voeu que l'État n'oublie pas sa responsabilité en tant qu'actionnaire car les conséquences sociales qu'ont à subir les sous-traitants proviennent de la réorganisation d'Airbus et découlent donc d'une décision de l'État.