Mais venons-en au fond de son exposé. Il a commencé par évoquer les attaques antidémocratiques auxquelles se livre un membre du Gouvernement – non pas, vous, madame la secrétaire d'État chargée de l'écologie, ni vous non plus, monsieur le ministre, mais votre collègue M. Devedjian – contre des procédures qui existent depuis longtemps, les enquêtes publiques. Les citoyens organisés, les associations, doivent pouvoir non seulement remplir les cahiers de doléances qui sont ouverts dans les mairies ou les préfectures, mais aussi introduire des recours contre tel ou tel projet d'infrastructure qu'ils estiment défavorable à la fois à l'emploi, à l'économie et à l'environnement.
D'autre part, je suis d'accord avec M. Chassaigne, même si je m'en plains un peu plus que lui, pour dire que le Grenelle, qui aurait dû être la grande loi de cette législature…