Notre conclusion sera la même que celle de M. Gremetz. Mais, auparavant, permettez-moi quelques remarques pour conclure nos débats.
Le texte a été élaboré à la hâte, dans l'urgence, et examiné au cours de la session extraordinaire. Était-il nécessaire de statuer si rapidement, un 18 juillet ?
Les partenaires sociaux n'ont pas été écoutés. Nous les avons reçus assez longuement, ce qu'ils ont apprécié, et ils ont déploré l'examen prématuré ce texte, persuadés qu'il viendrait plus tard dans les discussions, au moment de la négociation sur l'assurance chômage. Nous non plus n'avons pas été suffisamment écoutés, en dépit de quelques ouvertures. Vous avez parfois émis un avis favorable sur nos amendements, monsieur le secrétaire d'État, madame la rapporteure, et tous, autant que nous sommes, nous avons essayé d'améliorer le texte. L'ambiance a été bonne et courtoise. C'est un point positif.