Je vais bien sûr, monsieur Ayrault, vous accorder cette suspension, qui est de droit. Auparavant, je voudrais simplement rappeler que M. Copé est le président de la commission spéciale. Il peut donc prendre la parole quand il le désire.
Nous sommes dans la discussion sur l'article 6. J'ai donc tout naturellement donné la parole, les uns après les autres, aux orateurs inscrits sur l'article, C'est ainsi que les choses doivent se passer.
M. Ayrault étant le président du groupe socialiste, je lui ai tout naturellement donné la parole, mais après qu'il s'est exprimé, nous revenons à la liste des orateurs inscrits.