J'ai suivi votre démonstration, cher collègue Daubresse, à ceci près qu'au XXIe siècle, il ne faudrait pas perdre de vue l'arithmétique des vingt siècles passés, sans compter ceux qui ont précédé notre ère ! Vous avez omis en effet de préciser que, jusqu'à présent, nous avions les crédits de l'État et ceux des collectivités territoriales, auxquels s'ajoutaient les crédits du 1 %. Aujourd'hui, en revanche, ne restent que les crédits des collectivités territoriales et les crédits du 1 %.