Écoutez, mon cher collègue, non seulement le texte est examiné selon la procédure d'urgence, ce qui nous prive d'une deuxième lecture, mais vous nous présentez un paquet-cadeau déjà tout ficelé : tout cela ne me paraît très satisfaisant du point de vue de la transparence…
Deuxièmement, M. Daubresse prétend que Mme la ministre nous donne tous les moyens dont nous avons besoin. Or n'oublions pas de rappeler que ces crédits ne proviennent pas de l'État, mais qu'ils sont pompés dans les caisses du 1 %.