Tout cela s'inscrit en outre dans une ambition culturelle. Les accords interprofessionnels qui ont été signés traduisent un engagement fort de France Télévisions en direction de la culture : par exemple, la création audiovisuelle doit passer de 365 millions à 420 millions d'euros d'ici à 2011.
On ne peut pas, d'un côté, demander une société unique et, de l'autre, chercher à ressusciter juridiquement les différentes chaînes, comme la gauche n'a cessé de le faire au cours des débats. On ne peut pas non plus prétendre vouloir une télévision courageuse et de qualité sans aller jusqu'au bout de la logique s'agissant de la publicité.