Ce dispositif d'exonération sociale et fiscale partielle des heures supplémentaires est de toute évidence un moyen de distribuer du pouvoir d'achat aux Français (Protestations sur les bancs des groupes SRC et GDR) qui font des heures supplémentaires au moins une fois par an, soit environ quatre salariés à temps complet sur dix.
Selon le rapport, la réforme aurait ainsi un effet favorable de 0,15 % sur le PIB et se traduirait dès 2009 par « une baisse du coût du travail et des effets d'entraînement qui joueront positivement sur l'investissement des entreprises, donc sur l'emploi ». (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)