Voilà ! Nous avons donc aujourd'hui l'occasion d'inscrire dans la Constitution ce qui y manque pour faire véritablement progresser l'égalité entre les femmes et les hommes. Notre devoir à l'égard des femmes de notre pays – c'est-à-dire de 52 % de la population – est de ne pas la laisser passer. J'espère, madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, que vous tiendrez compte de ces quelques réflexions même si vous ne m'écoutez pas ! (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire et du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)