Je souris parce qu'il y a quelques années on ne parlait que d'un seul opérateur historique et que, aujourd'hui, on parle de trois ! Cela prouve le dynamisme, le rayonnement et la reconnaissance des compétences des deux autres. Cela montre également qu'en dépit de critiques quelque peu faciles, ce domaine a connu une bonne évolution. Malgré cela, il arrive parfois que les zones blanches soient mieux desservies que les zones grises dans certains secteurs de la téléphonie mobile.
Nous avons été, dans un premier temps, assez réservés sur cet amendement. C'est la raison pour laquelle il avait été rejeté en commission. Mais, à la réflexion, j'y suis favorable à titre personnel, madame Irles. J'ajoute que Laure de La Raudière a déposé un amendement après l'article 30, qui ne traite pas que de la téléphonie mobile 2G, mais de la téléphonie mobile 3G. Il se rapproche, en cela, de l'amendement n° 421 que nous avons adopté.
Si vous vous prononciez en faveur de cet amendement, monsieur le secrétaire d'État, je pense que l'Assemblée pourrait vous suivre.