Monsieur le président, je voudrais à mon tour souligner la sagesse dont vous avez fait preuve en acceptant de réserver les articles 26 et 31.
Je souscris au voeu de M. Lagarde de mettre ce temps à profit pour rechercher un consensus ou en tout cas un compromis qui nous permette de garantir au moins le respect d'un certain nombre de droits dans le règlement de cette assemblée.
Permettez-moi de revenir un instant – et je regrette qu'il ne soit pas présent – sur une intervention de Jean-François Copé qui a, ce matin, laissé entendre que, dans la mesure où l'opposition allait de toute façon voter contre, il était inutile de prendre des gants.