Monsieur le président, nous nous réjouissons de la décision que vous avez prise et qui est conforme au voeu de l'ensemble des groupes de poursuivre ce débat dans la plus grande sérénité et en recherchant, autant que faire se peut, les points de consensus.
Je m'adresse au groupe SRC et à son président en lui indiquant que nous souhaitons – je ne dis pas en contrepartie, car il ne s'agit pas d'un échange mercantile – que l'ensemble du débat ne soit pas pour autant retardé. Nous allons aborder une partie plus consensuelle et moins épineuse du texte que les articles que vous avez bien voulu réserver. Le débat pourrait donc s'accélérer, sans être escamoté.
Cela ne signifie pas non plus que l'examen des articles 26 et 31 doive être renvoyé aux calendes grecques. Il faudra bien qu'à un moment donné nous ayons un échange et que celui-ci produise des effets. Si nous ne trouvons pas un point de consensus, il faudra bien que ce débat ait lieu dans l'hémicycle avec les arguments respectueux des uns et des autres.