Nous examinons les relations bancaires, parfois très coûteuses pour ceux de nos concitoyens qui disposent de faibles revenus.
Nous saluons les avancées accomplies, mais il faut aller plus loin et préciser que, si toute demande de régularisation à la suite d'un incident de paiement ou à un dépassement de découvert, peut être facturée, le montant ne doit pas dépasser le coût réel de la facturation, c'est-à-dire le prix du timbre.
Si nous voulons aider nos concitoyens qui connaissent de plus en plus de difficultés pour boucler les fins de mois, il faut adopter cet amendement. Ces petites sommes, qui, pour eux, ne sont pas ridicules, peuvent les conduire à basculer du mauvais côté.