Je l'ai déjà dit et je le répéterai encore, le manque d'investissements et les suppressions de postes de ces dernières années sont les deux maux principaux dont souffre le service public. J'ai déjà évoqué plusieurs données régionales révélatrices de ce manque de moyens dont pâtit en particulier le service public ferroviaire. Ce problème est loin d'être une analyse personnelle, je vous renvoie ainsi au rapport de l'école polytechnique de Lausanne qui a dressé un constat inquiétant du piètre état de certaines lignes dites secondaires et décrit le besoin de rénovation et d'entretien de nombreux ouvrages d'art de la SNCF.
Depuis 2002, vous avez, sans faillir, favorisé le transport routier…