À l'évidence, sur ce texte, la majorité est mauvaise perdante. En effet, à la suite d'un débat excellemment présidé par Alain Néri qui a été d'une totale impartialité – c'est un grand président de séance, comme d'ailleurs le président de l'Assemblée nationale et chaque vice-président – a eu lieu un vote dont on connaît le résultat.
Qu'avons-nous entendu depuis le 9 avril ? Qu'il y aurait eu une manoeuvre, une mise en scène, un côté théâtral !